Нові мешканці міста чи сільські емігранти? Земляцтва савойців у Леваллуа-Перре

Le regroupement des migrants provinciaux à Paris en associations fondées sur une communauté d’origine constitue une des réponses possibles aux difficultés du séjour en milieu citadin. Créées il y a cinquante ans, les quatre amicales de résidents savoyards à Levallois-Perret ont subsisté jusqu’à aujo...

Full description

Saved in:
Bibliographic Details
Date:2006
Main Author: Колломб, Жерар
Format: Article
Language:Ukrainian
Published: Iнститут мистецтвознавства, фольклористики та етнології iм. М.Т. Рильського НАН України 2006
Series:Народна творчість та етнографія
Subjects:
Online Access:http://dspace.nbuv.gov.ua/handle/123456789/20155
Tags: Add Tag
No Tags, Be the first to tag this record!
Journal Title:Digital Library of Periodicals of National Academy of Sciences of Ukraine
Cite this:Нові мешканці міста чи сільські емігранти? Земляцтва савойців у Леваллуа-Перре / Жерар Колломб // Народна творчість та етнографія. — 2006. — №. 6. — С. 105-108. — укр.

Institution

Digital Library of Periodicals of National Academy of Sciences of Ukraine
Description
Summary:Le regroupement des migrants provinciaux à Paris en associations fondées sur une communauté d’origine constitue une des réponses possibles aux difficultés du séjour en milieu citadin. Créées il y a cinquante ans, les quatre amicales de résidents savoyards à Levallois-Perret ont subsisté jusqu’à aujourd’hui en remplissant cette fonction. L’arrêt progressif de l’émigration pose le problème du devenir des associations: le rôle qui était le leur à l’origine répond de moins en moins à l’attente des membres. Une timide revitalisation des amicales est aujourd’hui tentée en organisant de plus en plus les activités autour du thème du village d’origine. Les nombreux problèms qui surgissent entre les jeunes générations, nées à Paris — les plus actives au sein des amicales — et les résidents des communes d’origine, témoignent de la difficulté de la nouvelle intégration au «pays» que recherchent ceux que l’on nomme ici les «Parisiens».